Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Comment le marché intégral peut tuer l’agriculture européenne

16/11/2009 14:35

Comment le marché intégral peut tuer l’agriculture européenne


La crise du lait de l’été dernier n’est qu’un des soubresauts du système agricole français. Roland Hureaux nous l’explique, les agriculteurs français sont, comme leurs collègues européens, étranglés par un système libéral qui méconnaît les particularités de la production alimentaire.
Elevage laitier et viande, fruits et légumes, céréales ; tous les secteurs de l’agriculture ou presque sont en crise comme peut-être jamais ils ne l’ont été.
Quand l’Union européenne négocia les derniers accords du GATT (1994), les adversaires de la politique agricole commune obtinrent largement gain de cause : la préférence communautaire, tenue pour une relique du passé,  devait être progressivement abolie et l’ensemble des filières ouvertes au marché mondial. 
La France,  plus réticente que d’autres, n’obtient que des délais d’application qui expirent aujourd’hui les uns après les autres : la catastrophique réforme du marché du lait acceptée par Michel Barnier n’a pas d’autre sens.
Il est vrai  que nos négociateurs n’alléguèrent à l’époque que des difficultés « politiques » à mettre en œuvre trop vite des décisions dont ils ne contestaient pas vraiment qu’elles fussent, quant au fond, bonnes.
Mais l’étaient-elles vraiment ?
L’idée que le marché est  le meilleur régulateur, même en matière  agricole, doctrine officielle de l’OMC, ne tient pas  compte de la spécificité des marchés de matières premières.
Presque tous  les agents économiques encaissent aujourd’hui assez facilement les impulsions du marché, en les répercutant à l’amont ou à l’aval, le cas échéant par un retrait. Les producteurs de produits primaires, notamment agricoles, seuls, prennent ces impulsions « en pleine gueule »: d’abord parce qu’ils sont en bout de chaîne , mais aussi parce que les marchés de produits primaires sont, selon le jargon des économistes, peu «élastiques», et parce qu’ils ont généralement du faire   des investissements lourds et spécialisés : il est moins facile de vendre, en cas de crise, une mine ou une ferme qu’un fonds de commerce ou des bureaux, voire de délocaliser des machines.
Cet inconvénient est neutralisé pour  la plupart des denrées primaires par l’existence de monopoles de droit ou d’ententes de fait entre grands groupes, contrôlant aussi bien les prix que les quantités : EDF, les « majors » pétrolières (et en amont les pays de l’OPEP), les multinationales minières etc…. En définitive,  les seuls marchés « purs et parfaits », hors intervention de l’Etat, sont les marchés agricoles.
La commission européenne, impitoyable pour des producteurs de fruits et légumes exsangues dès lors qu’il s’agit de censurer une distorsion de concurrence, ne peut que fermer les yeux sur les ententes invisibles et de tout  autre portée des grands producteurs d’énergie.
Le mythe du libre-échange
L’hystérie disproportionnée déclenchée par  certaines épizooties (vache folle, grippe aviaire, grippe porcine) a encore accru la vulnérabilité de la profession agricole.
Cette situation particulière de l’agriculture n’avait au  XIXe siècle que des inconvénients limités du fait que les paysans pratiquaient alors une large autoconsommation, n’avaient ni charges fixes, ni  dettes. La grêle était alors plus redoutée que la mévente.
A partir des années trente, à la suite du drame américain des « Raisins de la Colère », prodrome (déf. signe annonciateur) de la grande dépression on considéra assez naturellement, que, dans les grand  pays qui pouvaient se le permettre, le progrès social exigeait la mise en place d’amortisseurs institutionnels de ces secousses inhumaines, sous la forme de soutien des cours, de protections, voire de subventions directes.
Mis en pool au sein du Marché commun au cours des années soixante, ce système se perfectionna au fil des temps. Le monde agricole comprit que le contrôle des cours impliquait celui des quantités : ce fut le sens des quotas laitiers, puis des jachères. 
Au XXe siècle, tous les pays développés ont protégé leur agriculture : le Japon  beaucoup, les Etats-Unis moins, l’Europe entre les deux. Les accords de Lomé tentèrent timidement de faire profiter certains pays africains d’une protection analogue.
C’est au démantèlement de ces protections que, par idéologie et sous l’impulsion des Etats-Unis (qui n’hésitent pourtant pas à protéger fortement certains secteurs comme le coton) et de quelques autres pays (le groupe de Cairns), s’est attaché le GATT à partir de 1984. Non seulement la commission européenne fut en la matière son relais efficace (Pascal Lamy passa sans transition de la fonction de commissaire au commerce international à celle de directeur général de l’OMC), mais certains Etats comme la France avaient pris les devants avec la réforme de la PAC de 1992, fondée sur l’idée, elle aussi un peu courte, qu’au soutien des prix devait se substituer l’aide directe, pourtant  beaucoup  plus coûteuse.
De ces nouvelles orientations, on voit aujourd’hui les effets, notamment dans notre pays où les charges fixes de l’agriculture (sécurité sociale, impôt foncier, main d’œuvre) sont particulièrement lourdes25 suicides à France Télécom mais qui dénombrera ceux, encore plus nombreux,  des éleveurs du Massif central ?
Le consommateur, dit-on, y trouve son compte. Pas toujours. Doit-on au demeurant sacrifier les Antilles pour qu’il paye le kilo de bananes 0,50 € au lieu de 0,80 € ?
Les bons apôtres, généralement abrités du  marché par leur statut ou par des monopoles de fait, ont beau jeu de préconiser toujours plus de  progrès de productivité. Savent-ils que l’agriculture en a fait en soixante ans plus que toute autre branche ?  Ou que dans des pays supposés compétitifs, comme le Etats-Unis ou l’Argentine, l’endettement du monde agricole est aussi lourd que chez nous et sa déréliction aussi grande ?   
Il faut accepter le principe que la spécificité technique des marchés agricoles au sein du marché mondial exige une régulation. Il ne faut pas hésiter à le dire : la doctrine du marché intégral, appliquée au seul secteur qui soit pleinement exposé au vent du large, à la fois en bout de chaîne et non contrôlé par des oligopoles, a un caractère inhumain. C’est dans les années 1960-1990, au temps de la préférence communautaire, que l’Europe était dans la vérité, et aujourd’hui qu’elle est dans l’erreur.
 
Roland Hureaux





DLR en pointe dans "La Bataille Hadopi"

14/11/2009 11:01

DLR en pointe dans


"La Bataille Hadopi" est un livre collectif qui relate, sous la plume des nombreux acteurs engagés contre la loi imposée par l’Elysée, prévoyant la coupure de l’accès à internet en cas de téléchargement illégal.

NDA, mobilisé sur cette question depuis la loi DADVSI de 2005, a participé, à travers un article, à la rédaction de l’ouvrage, publié par l’éditeur équitable Inlibroveritas, bien connu des adhérents et amis de DLR depuis la parution du Petit Livre mauve durant la campagne européenne.

Retrouvez les images de cette soirée et l’enregistrement audio de la conférence de presse donnée par les principaux intervenants, dont le président de DLR.






L'aprés De Gaulle

13/11/2009 09:22

L'aprés De Gaulle


L'Après-de Gaulle. Notes confidentielles, 1969-1989,
de Jean Mauriac
 
Edition :Fayard, Paris,
Année : 6/9/2006
540 pages
Le Mot de l'éditeur :
Jean Mauriac est entré à l'AFP en 1944, ou il a effectué toute sa carrière de journaliste politique. Affecté dès la Libération auprès du général de Gaulle, il ne l'a plus quitté jusqu'à son départ du pouvoir en avril 1969, occupant à son côté durant vingt-cinq ans une place de témoin privilégié. Très lié à la famille gaulliste, le fils de François Mauriac est resté jusqu'à la fin de sa carrière, en 1988, l'ami et le confident de la plupart des grandes figures de la Ve République d'Olivier Guichard à Jacques Chaban-Delmas, de Raymond Barre à Michel Jobert. Son livre est issu des multiples entretiens " confidentiels " qu'il eut, de 1969 à 1989, avec les principaux acteurs des septennats de Georges Pompidou, Valéry Giscard d'Estaing et François Mitterrand. Racontant de l'intérieur les grandes péripéties politiques qui ont marqué l'histoire de cette période, il nous plonge au cour des drames et des conflits qui ont déchiré les gaullistes après le départ du Général. L'après de Gaulle fourmille de révélations sur l'affrontement de Gaulle-Pompidou, les véritables raisons de la défaite de Chaban en 1974, la guerre Giscard-Chirac et les complots du RPR qui ont facilité, en 1981, l'arrivée de la gauche au pouvoir ainsi que sur l'histoire de la première cohabitation. Chronique de toutes les dérives qui ont conduit à la déliquescence de nos institutions, l'ouvrage de Jean Mauriac exprime à la fois la nostalgie et la colère d'un gaulliste qui assiste au retour du régime des partis, au jeu effréné des ambitions et des trahisons, à l'effacement imposé des gaullistes authentiques au profit des clans et des appareils. Témoignage politique de premier ordre, ces " notes confidentielles " apparaissent aujourd'hui d'une saisissante actualité.

Historien et écrivain, Jean-Luc Barré a collaboré à l'édition des Mémoires du général de Gaulle dans la Pléiade. Auteur, entre autres, de Devenir de Gaulle (Perrin, 2003), il a publié aux Editions Fayard en 2005 une biographie très remarquée de Dominique de Roux. Il prépare une biographie de François Mauriac.
 

 






L’inexorable recul de l’ordre républicain

13/11/2009 08:07

L’inexorable recul de l’ordre républicain


La sécurité publique, et plus généralement le maintien de l’ordre républicain, est la première des libertés, ainsi qu’on l’entend si souvent rappeler. A juste titre.
Hélas, le gouvernement actuel, là comme ailleurs, a tendance à se réfugier derrière des propos martiaux ou des satisfecit pour faire oublier l’insuffisance criante de ses résultats, lorsqu’il ne s’agit pas de la baisse délibérée des effectifs de sécurité publique au nom d’une politique à très courte vue de maîtrise de la dépense publique (RGPP) ! Après la volonté de rupture affichée par le candidat Sarkozy en 2007, on a vraiment l’impression, ainsi que je l’écris aujourd’hui dans le magazine Valeurs Actuelles (tribune accessible sur le site de Debout la République), à un retour en catimini de la pensée unique.
Au-delà des statistiques, que les stratèges de la communication politique s’emploient si bien à travestir, il y aussi les exemples concrets observés dans la vie courante.
Ainsi, dans une ville de ma circonscription en Essonne, un trafiquant de drogue a été interpellé par les services de police, dont je tiens ici à saluer la ténacité et l’efficacité. Passé en comparution immédiate, il a écopé d’une peine de 30 mois de prison (dont 10 fermes) et d’une amende de 4000 €, ce qui n’est pas cher payé vu la gravité des faits reprochés : trafic de stupéfiant, détention d’armes et d’une somme suspecte de 20 000 € en espèces. Pire, on est en droit de s’inquiéter après l’adoption toute récente de la loi pénitentiaire, qui prévoit la conversion automatique en peines de substitution des condamnations à moins de deux ans de prison ferme !
De même, l’argent a été confisqué lors de la perquisition au domicile du trafiquant, mais… a été restitué au père, qui prétend qu’il lui appartient ! Mais détient-on plusieurs dizaines milliers d’euro en liquide à son domicile ?!
Cet exemple n’a bien sûr aucune commune avec des situations beaucoup plus graves que l’on peut observer dans le nord de la région parisienne. Je signale à cet égard une enquête passionnante et surprenante publiée par le quotidien Libération il y a quelques semaines, révélant comment une bande de jeunes trafiquants de drogue met en coupe réglée des quartiers de la ville de Sevran, en Seine-Saint-Denis : cette bande fait quasiment la loi dans la cité au vu et au su des autorités, obligeant les habitants à se terrer chez eux et même parfois, pour les plus fragiles d’entre eux, à accepter de voir leur domicile servir de « dépôt » aux trafiquants, en contrepartie de la « protection » de ces derniers !
A propos de la Seine-Saint-Denis toujours, territoire de la République décidément en terrible déshérence, le quotidien Le Monde a récemment appris à ses lecteurs que les services de l’Etat sont impuissants à empêcher une immigration clandestine ou semi-clandestine massive, le pourcentage de non-nationaux atteignant jusqu’au tiers de la population de certaines communes !
Le renforcement continu de ces ghettos ethniques est totalement alarmant et rend bien dérisoire des débats sur « l’identité nationale » que le gouvernement, pendant ce temps-là, se targue d’organiser.
A cet égard, les prochaines élections régionales ne doivent pas seulement être l’occasion de mettre sur la table les dossiers cruciaux des transports et de l’emploi. Il faudra aussi parler ordre républicain pour qu’enfin on vienne en aide à toutes ces populations abandonnées de la République…
NDA





L’Etat régalien recule sur tous les fronts

13/11/2009 07:53

L’Etat régalien recule sur tous les fronts


Le retour de la pensée unique
Par Nicolas DUPONT-AIGNAN, Député de l’Essonne, président de DLR
Valeurs Actuelles, jeudi 12 novembre 2009
Nicolas Sarkozy a été élu en 2007 grâce au ralliement des classes populaires qui se sont reconnues dans son volontarisme politique et son refus de la pensée unique, tant dans le domaine économique que sur les questions de sécurité et d’immigration. À mi-mandat, la déception est immense pour la simple raison que ce volontarisme est resté à l’état de discours. Pis, dans le domaine de la sécurité et de l’immigration, sous l’empire de l’ouverture à gauche, les actes sont en totale contradiction avec les engagements. Ce grand écart est d’autant plus intenable que, faute de s’attaquer à la racine des problèmes, la situation du pays se dégrade de jour en jour : les violences aux personnes et les cambriolages ont été en forte augmentation ces derniers mois, les ghettos ethniques se renforcent et le trafic de drogue n’a jamais été aussi florissant, permettant à des adolescents à la dérive de gagner plusieurs centaines d’euros en une seule journée de “travail” !
Comment croire que nos concitoyens pourraient s’intéresser à un énième débat sur l’identité nationale, de surcroît lancé par Éric Besson, transfuge de la gauche, si, au quotidien, ils vivent dans les banlieues les ravages du politiquement correct inspiré par ce même Besson, qui continue par ailleurs à déclarer que l’immigration est une chance ?
Ce politiquement correct se traduit par des décisions très concrètes. Tout d’abord, pour la première fois depuis le gouvernement Jospin, les effectifs de policiers et de gendarmes diminuent. Ainsi, dès l’année prochaine, 3800 postes de gendarmes et 4200 postes de policiers seront supprimés au titre de la révision générale des politiques publiques (RGPP), qui instaure le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite. Du côté de la police nationale, les chiffres sont encore plus accablants puisque de nombreux candidats admis aux concours ne sont pas intégrés à des écoles de police – dont plusieurs seront par ailleurs fermées ! Le découragement des forces de l’ordre dans les commissariats est, on s’en doute, à l’avenant…
Ensuite, du côté judiciaire, la pensée unique est reine en France avec la loi surréaliste dite pénitentiaire, récemment votée, qui supprime en pratique l’incarcération pour toutes les condamnations des primo-délinquants à deux ans de prison et moins.
Les peines de substitution proposées ne sont pas appropriées pour des délinquants condamnés à des peines d’un an ou deux de prison ferme, celles-ci punissant des actes particulièrement graves comme des agressions physiques, y compris armées et en bande.
De surcroît, jamais les remises de peine n’auront été aussi laxistes. En vertu de la loi Perben de 2004, il existe une remise de peine automatique de trois mois pour la première année d’incarcération et de deux par année suivante, à laquelle s’ajoutent des remises de peine supplémentaires aisément accessibles (à raison de trois mois par année d’incarcération), sans même parler de la libération conditionnelle. La conjonction de ces trois dispositifs, qui n’existe dans aucun autre pays au monde, conduit ainsi à ce qu’un détenu criminel condamné à dix ans de prison (par exemple pour homicide volontaire) est libérable au bout de quatre ans et libéré en moyenne au bout de six !
Enfin, la politique de l’immigration est totalement inefficace puisque l’on se refuse d’une part à contrôler nos frontières (les pays membres frontaliers de l’Union européenne ne le font pas davantage puisqu’ils savent que les étrangers ne s’arrêteront pas chez eux), d’autre part à contrôler les prestations sociales qui constituent un véritable appel d’air. Rien que l’aide médicale d’État, à laquelle recourent les immigrés clandestins, coûte plus de 500 millions d’euros par an à la collectivité !
La France ne peut plus tricher avec la réalité. Des solutions existent : – sur l’immigration, il faut faire jouer la clause de sauvegarde de Schengen en rétablissant les contrôles aux frontières, prononcer un moratoire de cinq ans sur le regroupement familial, remplacer les aides médicales et l’accès aux hôpitaux par des dispensaires, etc. – Sur la délinquance, il ne faut pas appliquer la RGPP aux forces de sécurité publique, mais au contraire maintenir les moyens nécessaires au rétablissement de l’ordre. De même, il faut construire le nombre adéquat de places de prison et réviser les lois laxistes qui laissent en liberté les voyous. – Enfin, il convient d’en finir avec les trafics connus, de démanteler les zones de non-droit, d’enfermer dans des établissements spécialisés les délinquants juvéniles qui terrorisent aujourd’hui des quartiers entiers.





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